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On pouvait croire que Grenoble rencontrait Grenoble tant nos adversaires de Bourgoin sont souvent dans la capitale de l'Isère.
Raphaël débutait avec les noirs par un gambit Dame / Tarrasch et se retrouvait très rapidement avec une mauvaise structure de pions. On sait bien que le vieux Siegbert disait que si les noirs ont peur d'un pion isolé en d5 il vaut mieux qu'ils ne jouent pas aux échecs, mais vers le 20e coup, Raphaël avait 3 pions isolés + 2 pions doublés et isolés sur la colonne f. Il se procurait ensuite un pion passé, mais son adversaire aussi et, après promotion des deux fantassins, la finale de Dames était complètement perdante pour les noirs.
Il faut dire que pendant ce temps là, Raphaël, qui était aussi arbitre, devait s'occuper de Georges dont l'adversaire ne supportait pas les réponses "a tempo", puis du crash de deux pendules. Georges, jouant évidemment tous ses coups a tempo, trouvait un joli gain de pièce que son adversaire refusait pour en perdre deux. Table 5, Valentin montait une attaque sur le roque blanc de Florent Budin et l'obligeait à entrer dans une finale perdante, pendant que l'adversaire de Georges criait "Il ne me laisse pas écrire mon coup". A vrai dire, je ne suis pas certain que ce soit le Berjallien qui ait crié le premier. Table 4, Jean qui jouait contre Daniel Sotiaux dit "l'espion", pour les raisons que l'on sait, était confronté à une défense moderne variante Prost. Il obtenait un avantage mais se trompait de plan et arrivait dans une finale perdue. Table 8, Lucien gagnait une pièce pour 3 pions mais tombait dans un piège et perdait la Dame. Table 6, Boris perdait également mais je n'ai rien vu. Table 3, Patrick perdait rapidement un pion pour une position active et la paire de fous, mais il devait finalement user de la méthode classique consistant à échanger l'un des fous contre un cavalier afin d'entrer dans une finale de fous de couleurs contraires nulle. Restait Cap'taine Blanchard qui jouait une finale de fous de même couleur enfermés derrière un rideau de pions bloqués. Il aurait pu se contenter d'une nulle tranquille mais permettait à son adversaire très combatif d'ouvrir le jeu et d'obtenir une partie indécise dont Hugues nous jure qu'elle était gagnée pour lui, mais qui s'est finalement terminée par le partage du point. Score final 4-2 contre nous, mais l'équipe se maintient presque facilement.
Raphaël débutait avec les noirs par un gambit Dame / Tarrasch et se retrouvait très rapidement avec une mauvaise structure de pions. On sait bien que le vieux Siegbert disait que si les noirs ont peur d'un pion isolé en d5 il vaut mieux qu'ils ne jouent pas aux échecs, mais vers le 20e coup, Raphaël avait 3 pions isolés + 2 pions doublés et isolés sur la colonne f. Il se procurait ensuite un pion passé, mais son adversaire aussi et, après promotion des deux fantassins, la finale de Dames était complètement perdante pour les noirs.
Il faut dire que pendant ce temps là, Raphaël, qui était aussi arbitre, devait s'occuper de Georges dont l'adversaire ne supportait pas les réponses "a tempo", puis du crash de deux pendules. Georges, jouant évidemment tous ses coups a tempo, trouvait un joli gain de pièce que son adversaire refusait pour en perdre deux. Table 5, Valentin montait une attaque sur le roque blanc de Florent Budin et l'obligeait à entrer dans une finale perdante, pendant que l'adversaire de Georges criait "Il ne me laisse pas écrire mon coup". A vrai dire, je ne suis pas certain que ce soit le Berjallien qui ait crié le premier. Table 4, Jean qui jouait contre Daniel Sotiaux dit "l'espion", pour les raisons que l'on sait, était confronté à une défense moderne variante Prost. Il obtenait un avantage mais se trompait de plan et arrivait dans une finale perdue. Table 8, Lucien gagnait une pièce pour 3 pions mais tombait dans un piège et perdait la Dame. Table 6, Boris perdait également mais je n'ai rien vu. Table 3, Patrick perdait rapidement un pion pour une position active et la paire de fous, mais il devait finalement user de la méthode classique consistant à échanger l'un des fous contre un cavalier afin d'entrer dans une finale de fous de couleurs contraires nulle. Restait Cap'taine Blanchard qui jouait une finale de fous de même couleur enfermés derrière un rideau de pions bloqués. Il aurait pu se contenter d'une nulle tranquille mais permettait à son adversaire très combatif d'ouvrir le jeu et d'obtenir une partie indécise dont Hugues nous jure qu'elle était gagnée pour lui, mais qui s'est finalement terminée par le partage du point. Score final 4-2 contre nous, mais l'équipe se maintient presque facilement.
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