Les commentaires des participants :
Je joue la Nimzovitch du PRoi pour sortir des sentiers battus. Malheureusement je retombe par interversion dans une partie écossaise bien préparée par mon adversaire. Mal a l' aise je donne la paire de Fous pour mieux me développer. La pression sur ma position est au maximum. Je perds un Pion en tentant de recycler mon Cavalier mal placé. Une belle combinaison pour finir qui semble réfutée par une menace de mat du couloir mais rien ne marche pour moi. La finale de Fous de couleurs opposées est sans espoir avec 3 Pions de moins. Fin. Peux mieux faire. Et en plus on perd le match!
Patrick Le Febvre
Une partie acharnée, équilibrée, terminée prématurément par une grosse gaffe.
Vincent Faivre
Mon adversaire joue les grandes lignes d'une Petrov et à la sortie de l'ouverture je joue un coup douteux qui casse mon roque au profit de l'obtention de la paire de fous. Puis mon adversaire commet une faute en donnant une qualité. Hélas bien loin d'en profiter et crispé par mes débuts de capitanat ;-) je me mets à déjouer et lui se bat comme un beau diable avec un cavalier devenu monstrueux. Obligé de rendre la qualité, je rentre dans une finale défavorable. Bref, une déception et une partie à oublier !
Frédéric Chomier
Ma partie avec les blancs : un gambit de Budapest dans une variante que je connaissais mieux que mon adversaire. Une bonne partie.
Jean Peyrin
Je joue avec les noirs, une Petrov avec 3.Cc3... Le début de partie n'est pas déplaisant, je suis plus à l'initiative qu'à la défense, j'arrive à infliger un pion doublé à l'adversaire, bref plutot content de l'ouverture. Le milieu de jeu m'est moins favorable, ma jeune adversaire (Salomé) passe à l'offensive et, après avoir enchainé coups faibles et mauvais, mon aile dame s'effondre... Avec 2 pions de retard dont 1 passé, je suis persuadé d'être tel saint Jean-Baptiste ... perdu ... Il ne reste plus qu'à tenter une attaque sur le roque adverse... Et finalement, un peu (beaucoup ) de chance et le grand zeinot de ma jeune adversaire aidant, nouveau coup du sort : l'échec est mat pour mon adversaire et la victoire brillante pour ce qui me concerne. Bref, un gain immérité qui rapelle que tant qu'y a d'la vie y a d'l'espoir.
Boris Horvat
Rejouer la partie
Je joue la Nimzovitch du PRoi pour sortir des sentiers battus. Malheureusement je retombe par interversion dans une partie écossaise bien préparée par mon adversaire. Mal a l' aise je donne la paire de Fous pour mieux me développer. La pression sur ma position est au maximum. Je perds un Pion en tentant de recycler mon Cavalier mal placé. Une belle combinaison pour finir qui semble réfutée par une menace de mat du couloir mais rien ne marche pour moi. La finale de Fous de couleurs opposées est sans espoir avec 3 Pions de moins. Fin. Peux mieux faire. Et en plus on perd le match!
Patrick Le Febvre
Une partie acharnée, équilibrée, terminée prématurément par une grosse gaffe.
Vincent Faivre
Mon adversaire joue les grandes lignes d'une Petrov et à la sortie de l'ouverture je joue un coup douteux qui casse mon roque au profit de l'obtention de la paire de fous. Puis mon adversaire commet une faute en donnant une qualité. Hélas bien loin d'en profiter et crispé par mes débuts de capitanat ;-) je me mets à déjouer et lui se bat comme un beau diable avec un cavalier devenu monstrueux. Obligé de rendre la qualité, je rentre dans une finale défavorable. Bref, une déception et une partie à oublier !
Frédéric Chomier
Ma partie avec les blancs : un gambit de Budapest dans une variante que je connaissais mieux que mon adversaire. Une bonne partie.
Jean Peyrin
Je joue avec les noirs, une Petrov avec 3.Cc3... Le début de partie n'est pas déplaisant, je suis plus à l'initiative qu'à la défense, j'arrive à infliger un pion doublé à l'adversaire, bref plutot content de l'ouverture. Le milieu de jeu m'est moins favorable, ma jeune adversaire (Salomé) passe à l'offensive et, après avoir enchainé coups faibles et mauvais, mon aile dame s'effondre... Avec 2 pions de retard dont 1 passé, je suis persuadé d'être tel saint Jean-Baptiste ... perdu ... Il ne reste plus qu'à tenter une attaque sur le roque adverse... Et finalement, un peu (beaucoup ) de chance et le grand zeinot de ma jeune adversaire aidant, nouveau coup du sort : l'échec est mat pour mon adversaire et la victoire brillante pour ce qui me concerne. Bref, un gain immérité qui rapelle que tant qu'y a d'la vie y a d'l'espoir.
Boris Horvat
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Frédéric Chomier - Kouros Babakan | Vincent Faivre - André Isetta |
Patrice Kondratoff et Boris Horvat | Pierre Oblin, Jean Peyrin, Gabin Piat et Adam Safadi |
C'est quand même incroyable qu'il y ait encore des joueurs qui osent jouer le gambit Budapest contre Jean :-) :-) :-)
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