Pour la reprise de la compétition, un déplacement jusqu’en Haute Savoie nous attendait pour affronter Lons le Saunier. Hélas, alors que cette rencontre s’annonçait décisive pour le maintien , un de nos premiers échiquiers était terrassé par la grippe et était forfait. Malgré une rafale d’appels téléphoniques, impossible de trouver un remplaçant à la dernière minute . Il fallait donc se résoudre à y aller à sept. Malgré ce coup du sort, le vaillant capitaine Hugues de retour d’un long congé paternité tentait de motiver tout son monde pour ne pas abdiquer avant de jouer . Il me chargeait de faire un compte rendu, mission toujours compliquée quand on joue surtout que ma partie fut longue et ardue !!
Au dernier échiquier, Diego, notre étudiant péruvien ratait son début et perdait une qualité d’entrée mais se battait ensuite comme un beau diable ; hélas il s’inclinait à la longue non sans une farouche résistance.
Le capitaine Hugues obtenait une partie très positionnelle comme il les aime ( enfin je crois ! ) et son expérience finissait par jouer pour conclure une partie maitrisée du début à la fin.
A côté de moi, notre plus jeune joueur Léo jouait une variante du dragon accéléré qui faisait des ravages chez son adversaire . Mais Léo redonnait un peu d’espoir à son adversaire qui lançait une attaque qui semblait forte ; c’était sans compter sur le sang froid de Léo qui annihilait les velléités adverses en concluant sans hésitation une magnifique partie. A ce moment là nous revenions à égalité dans le match malgré notre forfait au dernier échiquier .
Les quatre parties restantes étaient très disputées .De la partie d’André , notre premier échiquier, je peux dire que tout s’est joué sur l’aile dame . André sembla rater le gain et s’inclinait avec les honneurs.
C’est à ce moment que Nikolai manoeuvrait, je ne sais comment ! , dans une partie sur le thème des pions pendants , pour remporter un point très précieux contre une redoutable joueuse ex-grenobloise .
Après une Sicilienne fermée et positionnelle, mon adversaire sacrifiait une pièce mineure contre deux pions mais obtenait une partie prometteuse. Je m’accrochais pour rester dans la partie et alors que tout se dégradait avec quatre pions passés contre moi, j’obtenais des contre menaces et finis par conclure le nulle dans une position supérieure mais la fatigue aidant et le zeitnot faisant son oeuvre ça me semblait plus raisonnable !
Il restait donc la partie de Jean qui lui aussi ratait le gain à la fin mais la partie était accrochée et longue . La nulle était conclue et nous permettait de faire nul 3 à 3 ce qui est plutôt satisfaisant vu le contexte de la rencontre.
Frédéric Chomier
Au dernier échiquier, Diego, notre étudiant péruvien ratait son début et perdait une qualité d’entrée mais se battait ensuite comme un beau diable ; hélas il s’inclinait à la longue non sans une farouche résistance.
Le capitaine Hugues obtenait une partie très positionnelle comme il les aime ( enfin je crois ! ) et son expérience finissait par jouer pour conclure une partie maitrisée du début à la fin.
A côté de moi, notre plus jeune joueur Léo jouait une variante du dragon accéléré qui faisait des ravages chez son adversaire . Mais Léo redonnait un peu d’espoir à son adversaire qui lançait une attaque qui semblait forte ; c’était sans compter sur le sang froid de Léo qui annihilait les velléités adverses en concluant sans hésitation une magnifique partie. A ce moment là nous revenions à égalité dans le match malgré notre forfait au dernier échiquier .
Les quatre parties restantes étaient très disputées .De la partie d’André , notre premier échiquier, je peux dire que tout s’est joué sur l’aile dame . André sembla rater le gain et s’inclinait avec les honneurs.
C’est à ce moment que Nikolai manoeuvrait, je ne sais comment ! , dans une partie sur le thème des pions pendants , pour remporter un point très précieux contre une redoutable joueuse ex-grenobloise .
Après une Sicilienne fermée et positionnelle, mon adversaire sacrifiait une pièce mineure contre deux pions mais obtenait une partie prometteuse. Je m’accrochais pour rester dans la partie et alors que tout se dégradait avec quatre pions passés contre moi, j’obtenais des contre menaces et finis par conclure le nulle dans une position supérieure mais la fatigue aidant et le zeitnot faisant son oeuvre ça me semblait plus raisonnable !
Il restait donc la partie de Jean qui lui aussi ratait le gain à la fin mais la partie était accrochée et longue . La nulle était conclue et nous permettait de faire nul 3 à 3 ce qui est plutôt satisfaisant vu le contexte de la rencontre.
Frédéric Chomier
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