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jeudi 22 novembre 2018

Nat. IV : deuxième ronde à Aubenas


En ce Dimanche 18 Novembre, nous étions donc opposés à l’équipe d’AUBENAS, qui eux, avaient perdu leur première rencontre. Mais cela n’empêche, ils étaient tous mieux classés que nous à chaque échiquier, pari donc relevé, mais finalement perdu.
Nous nous sommes donc inclinés sur le score de 5 à 2.
Avec une victoire d’Edwin et de Maxime, Jonathan ayant annulé.

Mais il n’y avait pas que l’équipe d’Aubenas qui nous a posé bien des problèmes. Il se trouve que c’était aussi la journée des gilets jaunes. Nous avons croisé à l’aller pas moins de quatre barrages, et ce à partir de Valence, nous faisant perdre énormément de temps   sur notre trajet, environ  1h15 de plus sur l’horaire prévu. Obligés d’appeler le capitaine d’Aubenas pour le prévenir. Il a, lui  et l’équipe d’Aubenas, été très compréhensif, et l’accueil qui nous a été réservé  fut très chaleureux ( le café et le sourire)

En chemin après Privas, nous sommes passés par un petit col, pour éviter Le Pouzin et un éventuel  autre barrage, et ce au prix d’une route très sinueuse pour arriver jusqu’à Aubenas.
Merci aux deux conducteurs, Isabelle et Frédéric, pour qui ce dut être aussi éprouvant nerveusement.

Ce fut donc une journée spéciale, et je ne crois pas me tromper en pensant que nous n’étions vraiment pas dans les meilleures conditions pour jouer aux échecs.
Pour ma part, j’ai raté mon ouverture avec les noirs sur un début Réti, et mon jeune adversaire me jouant tout à tempo, je sentis beaucoup d’assurance dans son jeu.
A côté de moi, Jonathan annulait sur une finale qui d’après ses analyses d’après-match était difficile à convertir en gain.

Frédéric jouait au premier échiquier, contre un adversaire classé autour de  2250, et qui n’avait pas joué à la première ronde perdue. Frédéric gagna un pion  en milieu de partie, ce qui n’eût malheureusement pas suffi après, avec une dangereuse attaque sur son Roi.

Aurélien m’a dit aussi avoir laissé passé quelques opportunités de gains dans sa partie.

Mais voilà, c’était une journée un peu spéciale, avec de la matière à raconter. Au retour, d’autres barrages de gilets jaunes nous attendaient encore, et cela même à la nuit tombée.
Mais c’était quand même sympa et pour ma part je suis bien content de jouer en équipe, outre le fait d’être capitaine, je trouve que l’esprit d’équipe apporte beaucoup.

Alors, à la prochaine ronde, avec qui sait, peut-être un autre scénario….

Adrien Bonnard


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